A l'aube le sapin clignotait et pourtant,
ses lueurs colorées n'atteignirent pas mon coeur.
A son pied se trouvaient comme pour les enfants,
tes paquets déposés. Où était la chaleur ?
Toute la nuit passée, solitaire grelotant,
à pleurer ton absence, si cruelle à cette heure...
Une attente pour noël, si différente d'antan,
dans la tristesse, et la lassitude, et la peur.
Dis-moi Adrianita quand reviendras-tu ?
Dis-moi que ces moments lourds, toi aussi te tuent,
que plus jamais noël, nous ne fêterons seuls.
Oublions à l'avenir, ensemble entourés,
l'un de l'autre, et des enfants de notre foyer,
du réveillon, l'amer goût des amuses-gueules.
mardi
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