mercredi

Estoy completamente loco de ti

La course des voyelles, jamais n'emportera,
les amples arabesques, déliées de frou frous,
les métaphores simplistes, qui couvrent d'une aura
si particulière, les émotions des fous.

Les mots et les poèmes, criés sur l'agora ;
les caresses et, les "je t'aime", les "adieu" ou,
les cris de douleurs, des chrystanthèmes ici-bas,
fissurent l'existence, en milliers de caillous.

Douces constellations aux diadèmes fragiles ;
les solitudes vides, débordent de nos villes,
assassinant l'amour, dans un lit de chagrin.

Voilà pourquoi je pleure, nos souvenirs dorés,
ta présence à toute heure, les sourires adorés,
à me tourner la tête, à perdre mon latin.

Aucun commentaire: