samedi

Reviens, reviens

Je te veux, je te désire,
reviens, reviens,
mon corps est en délire,
reviens, que ce cœur
à nouveau respire,
qui pleure sans cesse ton absence
et lentement s'abîme
où l'Autre-ment l'attire.

Veux-tu ma mort ? Que ce silence
crève mes nuits ! Hantant encor'
tel un zombie quand vient l'Aurore
et la conscience hurlante de douleur.

Reviens, reviens,
avec les couleurs des matins
et le soleil, et les oiseaux marins,

Reviens, reviens,
ton sourire, ta confiance,
tes lèvres, tes seins
la chaleur de tes sens,

et pour toujours enfin reviens...
...je suis mourant d'impatience.

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